Soif

Soif de nouvelles lectures, de nouvelles histoires, de nouvelles péripéties, de nouvelles manières de penser, de nouvelles expériences, de nouvelles tristesses, de nouveaux départs...
Je cherche de nouveaux blogs.
Des blogs sympas, mais srtout qui est entretenu par son auteur.

Des suggestions?

Migraine

Les advils (même les liquigels) dans la limite de la posologie, ne font plus effet.
Le bain chaud habituellement salvateur non plus, le jus d'orange, les pleurs et arrêter de respirer nonplus.

Eh merde!

Des suggestions?

Trouver le tempo

Une introduction à mon introspection.

Exorciser mes démons? Non j'ai juste mille et une questions qui demeurent toujours sans réponses...

Comme dans une ébauche que j'ai fait précédement, sur la relation que j'ai eu avec mon père. Pour en faire un bref retour : il est parti travailler a Mourial lorsque j'avais tout juste 7 ans. En revenant la fin de semaine. En bref, on s'est entrevus évoluer. Petite fille j'ai eu un modèle masculin à temps partiel, mon frère a peut-être agis comme agent de substitution. Dans la splendeur de l'adolescence, je l'ai fui, évité, nié. Mon frère fesait la même chose à mon égard, mais les injures et les insultes en prime. J'ai eu des petits copains qui (on s'en étonne pas du tout) habitaient loin (2h de route). Seul model que j'avais eu.

Et puis, on ne s'est pas dit souvent je t'aime. Honnêtement, ça ce compte sur les doigts. Et encore mois souvent pleurer. Je me souviens avoir vu une fois ma mêre pleurer et c'était un grand choc, voir un traumatisme. C'est comme si chez nous c'était tabou, les sentiments. Et comment faire confiance au monde, hors du nid familial. Alors que dans cette sécurité réconfortante, on ne se fait pas assez confiance pour avouer ses faiblesses et verser quelqus larmes.

N'allez pas croire que j'ai eu une enfance malheureuse, juste différente.

Je l'ai cherché ailleurs ma famille. Mes amis son devenus mon sang. Que je traine d'ailleurs depuis l'enfance. Leur dire je t'aime, pleurer devant eux, ca été plus facile avec le temps. Le temps arrange bien des choses comme on dit. Je peut compter sur les doigts de ma main ceux a qui je racontrait des secrets ou devant qui je m'avoue vaincue. Avouer mes problèmes et pleurer aussi.

La vie doit être tellement plus simple lorsqu'on a les "skills" ou la facilité, si vous voulez, pour dire ses émotions au jour le jour.

J'essaie, j'essaie fort. Soyez patients. Soyons patients. Le temps arrange les choses. À qui sait attendre, le temps ouvre ses portes.

Plus fort ensemble

On a appris la mort de Heat Ledger aujourd'hui.
Bon c'est triste et ca nous fait tous une très grande peine (entendez-vous les violons??).

Non sérieusement...

Ce qui me facine c'est la vitesse avec laquelle la nouvelle se répends.

Sur Wikipédia : déjà on a la date de sa naissance et celle de sa mort : 22 janvier.
Cause : possible overdose.

Eh bien!

Encore un point pour Wikipédia!!!
Et ce qui est beau c'est que ce sont les gens qui ajoutent toutes les infos.
Ce qui prouve une fois de plus que 2 têtes valent mieux qu'une et qu'ensemble on est plus fort!!!

Refaire le plein...

Pendant ces temps gris et la monotonie des jours si froids.
Plus que la fatigue, et les ennuis et la solitude parfois.
De cet hiver qui s'étend de tout son long et n'en finit plus de finir...
En jalousant tout ceux qui s'apprêtent à le fuir.

Pour ces jours là j'ai fait de secrètes réserves.
Comme pour la chance dont tu fais des provisions sans trêve.
Moi ce sont tes baisers que jalousement je garde.
De toutes sortes, par miliers rassemblés en une harde.

Ceux qui me font sourire et rire aux éclats.
Ces baisers volés, à l'aveuglette et cachés dans l'embarras.
Les horribles baisers moustachus et ceux que tu m'as souflés.
Ceux qui ont donnés les frissons; pour le futur, je les ai mis sous clé.

Ah ces lundi!

Lundi de pleine lune de surcroît!

J'ai décidée aujourd'hui que je ferai un jour un safari photo en Afrique pour aller croquer sur le vif des zèbres.

Je sais pas trop pourquoi ça me facine tant.

Peut-être mon drôle d'amour des chevaux.
Un traumatisme d'enfance.
Ou bien un livre...

Mais c'est dé-ci-dé.
J'irai!!

Ah L'Amitié

Les amis, les vrais, on les reconnaît dans l'adversité.

Ah pis que ça aille bien ou pas...
Je le sais maintenant.

Vous êtes la pour moi.

Ça me touche. Ouai vraiment.

Et sur l'élan de ce débordements de tendresse...

Merci!

Première.. toute première

Aujourd'hui,
C'était ma toute première.
Première journée d'universitaire.
Premier cours, dans mon premier local.
Premier Prof (qui me semble sympathique à première vue).
Premiers copains de classe.
Premières échéances.

Et les premiers pas que j'ai fait dans la salle de cours j'ai entendu mon nom. Me suis retournée, mais n'ai pas vu qui s'adressait à moi ou même si c'était bel et bien moi qu'on appelait!

Or donc, à la sortie de mon cours, j'ai croisé une ancienne copine de théâtre. Cathie.

Qui m'offre son aide pour divers cours et pour l'étude.

Et bien bilan : Première journée concluante!

Gaspillage!

Je me suis levée une heure trop tôt...
J'pensais travailler à 9h ce matin.. BEIN NON!
J'travaille juste à 10h.

Gaspillage de précieuses minutes de sommeil.

Sympathies

Mon petit...
Mon Lapin... Ma P'tite Bonnie...
Ma tortue...

Elle a rendue l'âme.

Je feel coussi-coussa.
L'estomac dans les talons et le teint livide (ou est-ce parce que j'ai dormi mois de 5h la nuit dernière?). Malgré tout... j'en avait de l'affection pour elle. Peut-être bien un surplus de tendresse. Du moins une certaine charge émotionnelle... ou une charge émotionnelle certaine.

Et puis si vous ne pouvez pas comprendre mon sentiment au moins... ne me dites pas d'aller m'en acheter une autre.

Ma Bonnie elle était, et elle demeure, irremplaçable.

Coucou...

Rien de mieux que le doux confort de son chez-soi pour se sentir bien.
Non pas que je ne m'adapte pas bien lorsque je suis ailleurs qu dans mon p'tit nid douillet...
Ne dit on pas... chassez le naturel et il revient au galop!
J'ai voulu changer... modifier mon quotidien.
Écouter la télé (ouff pas une entreprise facile!), Ranger ma chambre au jour le jour, sortir un peu partout, faire des activités super diversifiées... etc.
Le genre de choses qu'on prend en résolutions.
Et pis merde.

Moi, en 2008 voici mes résolutions:

*Me coucher, dormir, faire des siestes (besoin fondamental vivement carencé pendant la folle période des fêtes) faire le roupillon avec un bel inconnu (connu) ou un tout-nu vêtu de draps (pas de papier d'aluminium cette fois! Pour le confort... tu vois?)

*Tendresse? Bah, ouai. Plein de tendresse : en donner... et en recevoir. Avis à vous!

*Faire de la popotte (bah j'en fesait déjà... oh pis merde! ça, j'aime!) de la bonne bouffe (santé), mais surtout inventives et inusitées.

*Créer. Me remettre à la photo, la peinture, l'Art avec son grand A. Nourir mon élan créatif d'occasion nouvelles. Voilà!


Au fait, ce que j'espère le plus... c'est de raviver cet espoir que j'ai de devenir épicuriene accomplie.
Je commencerai donc en 2008 par devenr adepte du coconing!
Je m'abonne d'ailleurs à une nouvelle émission de télé : Curieux Bégin (à déguster!)

Asocialitées

Je ne sais pas si on a eu la vie facile, si on a dû travailler plus fort ou simplement été élevés différemment, mais je crois qu’on a (les gens de plus ou moins mon âge) certaines aptitudes à vivre socialement. Bon, je vous accorde qu’il y a exceptions à tout, qu’il y a des tatas partout (!)… comme nous le dit si bien l’ami François Pérusse. Je ne sais pas les mots pour décrire ce pincement au cœur qui me tourmente face à la génération qui nous succède.

Je ne sais pas si c’est moi qui généralise ou si c’est généralisé : les jeunes de nos jours sont individualistes. Des nombrilistes qui imposent leurs lois du moindre effort. Leur façon bien à eux de faire le moins possible mais en espérant des résultats optimaux. Ils sont des utopistes qui rêvent de changer le monde... dans l’immobilité de leurs inactions (il est à noter ici que l’adition de deux termes au négatif n’entraînent pas un résultat positif!). On voudraient tous le beurre et l’agent du beurre, mais (nous) on sait bien que c’est du domaine de l’illusion. Habitués d’avoir tout cuit dans le bec ils n’ont qu’une vague idée de ce que doit être le concept « d’initiative ».

On les voit lentement s’insinuer sur le marché du travail. Incapables de tenir plus d’une session, le dur labeur du travail rémunéré, préférant le douillet de leur nid familial. Tanguy et autres égotistes du genre sauront-ils défendre leurs idées contre vents et marées, seront-ils se tenir debout, choisir décider et faire avancer le monde??? Au fait c’est ça qui m’inquiète le plus. Parce que pour ce qui est du travail… ils seront de ceux qui obéissent sans poser trop de questions, à un supérieur qui réfléchira pour eux.

J’ai bien hâte de voir qui seront les grand penseurs, les chercheurs, les décideurs de demain. Je me demande bien de quoi aura l’air Québec. Et si un jour on en fera notre pays. Si les petits ont autant d’opinions qu’ils ont de détermination, on a du pain sur la planche.

La pointe de l’iceberg de ce problème au fait, c’est qu’on a affaire à une espèce en pleine expansion. Le « je m’enfoutisme » amène son lot d’inactions dans son sillon vicieux (c’est plus juste un cercle dans ce temps là!). Allons, amenons-les a l’abattoir! À quand le génocide?? Par pitié délivrez nous de ces souffrances… Amen.

Bah! Dans le fond. Ça doit me fâcher autant parce que je ne prends pas souvent le temps de penser à moi, juste à moi, rien qu’à moi… mais quand même. Toute cette ineptie m’inquiète. Il est d'ailleurs grand temps que je change d'univers. Vivement l'univesité, une nouvelle job et de nouveaux défis. Pour que je n'aies pas le temps de remarquer toutes ces asocialitées.

Retour à la réalité

Le temps des fêtes a fait ses ravages.
Causé son lot de disputes et de réconciliations.
Le nouvel an amène les bilans, les amitiés retrouvées sinon des recherches, les mots d'encouragements, les bon souhaits et la bonne bouffe.

Oufff!
C'est pas facile tout les jours le temps des fêtes... vivements qu'on en finisse!

Je suis de retour dans cet univers parallèle à la réalité : le net.

Bien heureuse d'y être avec mon nouveau portable... et de quitter la frénésie du monde réel, le temps d'un post.

J'ai aussi commencé un essai, qui deviendra peut être quelquechose de concrêt, tout ça pour m'échaper un peu plus...